L'INVERSION DE LA VICTIME ET DU BOURREAU
Maho GLOFIEHI ci-dessus en compagnie de BLE GOUDE a été arbitrairement détenu en dehors de toute procédure judiciaire jusqu'à sa récente remise en liberté provisoire (en décembre 2012 juste après le verdict inique de la Cour d'Assises dans l'affaire MAHE/LICORNE).
Voilà ce à quoi sont
exposés les opposants au régime liberticide que la FRANCE soutient après
l'avoir installé par la force, notamment avec l'aide de la LICORNE dite force
impartiale.
Maho
GLOFIEHI ci-dessus maltraité a été cité par PONCET lors de son témoignage au
procès d'Assises comme "un chef milicien mafieux et
sanguinaire".
MAIS
QUI EST SANGUINAIRE ICI ???
POLITIQUE
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Guiglo : Maho Glofiéhi arrêté
Publié le mardi 6 decembre 2011 | Le Patriote
Maho Glofiéhi, leader du Front de
libération du grand-ouest (FLGO), ne respire plus l’air de la liberté. Hier,
sous le coup de 9 heures, il a été arrêté par les éléments des FRCI. A
l’annonce de son arrestation, les populations de la ville comme un seul homme
se sont ruées vers le lieu de sa détention. Tous étaient animés d’une seule
intention : le lyncher. Il a fallu une intervention des FRCI pour le sortir des
griffes de la population. Il a alors été exfiltré et transporté à l’état-major
à Abidjan. Ces populations lui reprochent de les avoir fait souffrir le
martyre. Depuis la survenue de la crise le 19 septembre 2002, l’homme régnait
en maître sur la ville de Guiglo. Ses hommes s’étaient tristement illustrés
contre tous ceux qui n’étaient pas de leur bord ou qui étaient soupçonnés de
coopérer avec l’ennemi ». Blé Guirao ne dira pas le contraire. En partance pour
Blolequin, il était tombé dans un guet-apens des hommes de Maho. Il n’a eu la
vie sauve qu’après l’intervention de certains cadres de la région. Avec
l’accalmie après l’accord de Ouagadougou, l’homme s’était assagi avant de
revenir au devant de la scène avec la crise postélectorale. Il serait l’un des
chefs des miliciens qui ont semé la mort et la désolation à Yopougon. Selon
plusieurs sources, son QG serait à l’hôtel le Mont Blanc de Yopougon. Les
environs de cet hôtel ont été le théâtre d’intenses combats entre les miliciens
de Gbagbo et les FRCI. Les impacts de balles sur les murs de l’hôtel et les
maisons environnantes sont encore là pour servir de témoin.
TL
Aké N’Gbo, Dallo, Adjobi, Maho…: Les dessous de leur liberation
· Publié
le 21 décembre 2012 à 6:35
Pr Aké N’Gbo, ex Premier ministre,
Désiré Dallo, ex- Dg du Port de San Pedro, Christine Adjobi, ex-ministre de la
Lutte contre le Sida, Gnahoua Zibraby Norbert, journaliste, Mahan Gahé,
président de la centrale syndicale Dignité, Maho Glophiéhi, ex-chef de milices,
le commandant Koua Kouakou, ex-aide de camp de Laurent Gbagbo, et Jean-Jacques
Béchio, se son vus accorder hier jeudi, la liberté provisoire.
Interpellés dès la chute de leur leader, Laurent
Gbagbo, le 11 avril 2011, et gardés en détention depuis plus de 18 mois dans
des prisons au nord du pays, ces cadres de La majorité présidentielle (Lmp),
vont pouvoir passer les fêtes de fin d’année en famille. Pour beaucoup
d’observateurs de la vie politique ivoirienne, ces mises en liberté,
fussent-elles provisoires, s’inscrivent dans l’esprit de la réconciliation
nationale. Même si, selon le communiqué officiel, ces personnalités avaient
introduits une demande dans ce sens auprès des autorités judiciaires. Car à
l’évidence, ces personnalités, à l’exception de l’ex-chef de milices, Maho
Glophiéhi, sont moins cités dans la préparation et l’exécution des graves
exactions commises par les pro Gbagbo, lors des évènements post crise
électorale de 2011.
T.Guy
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