12 CIVILS ET MILITAIRES TUES LORS DE L'ATTAQUE DE LA RTI PAR LES REBELLES DE OUATTARA LE 16 DECEMBRE 2010


LA LIBERTE D'EXPRESSION S'ARRÊTE VISIBLEMENT LA OU COMMENCENT LES INTERÊTS DE L'OCCIDENT A COURT TERME

L'attaque de la Radio Télévision Ivoirienne du 16 décembre 2010 par des rebelles surarmés aidés de surcroît de l'ONUCI a fait au moins douze morts (deux techniciens de la Radio Télévision Ivoirienne et 10 soldats), soit autant que les frères KOUACHI au siège de Charlie Hebdo. De la même façon que nous condamnons avec la plus grande énergie l'assassinat de journalistes en FRANCE, nous regrettons que cette même FRANCE ait choisi de s'allier avec des rebelles et des Dozos sans foi ni loi pour conquérir le pouvoir qui passait par l'anéantissement de son principal outil de communication et de mobilisation de masse : la Radio Télévision Ivoirienne. 


Attaque de l'émetteur de la RTI par les rebelles de Ouattara
Golf Hotel : Film documentaire sur les affrontements entre FANCI et FAFN lors de la marche RDHP du 16/12/2010

Mise en ligne le 4 janv. 2011
Décidé à salir Gbagbo d'un crime contre l'humanité : Ban Ki-moon veut fabriquer un charnier (près de 20 morts officiellement)
«L'ONU fera tout pour accéder aux sites où se trouveraient des charniers en Côte d'Ivoire», a affirmé son chef Ban Ki-moon lors d`un entretien avec Alassane Ouattara (...) Ce sont les termes d'un communiqué de presse de l'ONU repris par l'AFP dimanche et qui montre que le « machin » comme baptisé par le Général De Gaulle est décidé à fabriquer un charnier pour le mettre sur le dos du président Gbagbo qu'il ne veut plus voir. Selon la dépêche, l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) «a reçu pour instruction de faire tout ce qui est possible pour accéder aux zones affectées, à la fois pour la prévention et pour enquêter et établir les infractions, de sorte que ceux qui sont responsables soient tenus responsables». Le principal site lorgné par l'ONU est la commune d'Anyama dans la banlieue d'Abidjan. C'est Guillaume Soro, le premier qui aux lendemains des évènements qui ont marqué l'échec de la prise de la RTI par les «chiens de garde» de Ouattara, a annoncé l'existence d'un charnier à N'Dotré sur la route d'Anyama. Et comme depuis le coup de force électoral de la France et de l'ONU pour mettre Ouattara à la tête de la Côte d'Ivoire, c'est ce dernier qui dicte les décisions à prendre en Côte d'Ivoire, il n'est pas étonnant de voir que l'ONU cherche à fabriquer un charnier pour pouvoir enfin accuser Laurent Gbagbo de crime contre l'humanité. Un charnier, quand il existe, ça se sait car les corps en putréfaction dégagent forcément une odeur nauséabonde. Pour qui connaît la Côte d'Ivoire, les media de l'opposition si prompts à casser du Gbagbo auraient depuis sorti des témoins pour montrer l'emplacement exact de ce charnier imaginaire. La semaine dernière, au cours d'une conférence de presse, le ministre de l'Intérieur, Emile Guiriéoulou, a affirmé qu'il n'existe nulle part de charnier. Mais, cela n'a pas suffi à l'ONU qui tient pour vérité que Ouattara et sa bande affirme. Cette logique obstinée de trouver obligatoirement un ou des charniers est de nature à inquiéter. En effet, il n'est pas à exclure que l'ONU par l'entremise de ces agents à Abidjan, transporte des corps déjà frigorifiés dans leur base pour les jeter dans cette partie du district d'Abidjan et faire croire que ce sont, comme ils aiment à le dire, les soldats fidèles à Gbagbo qui l'ont fait. L'ONU est dans une logique de complot et elle est capable de tout pour prouver ce qu'elle dit sur un chef d'Etat qu'elle ne veut pas voir. Elle ferme les yeux sur ce qui dérange Ouattara et retrouve la vue quand il s'agit de ce qui dérange ou peut déranger Gbagbo. Ainsi, des milliers d'Ivoiriens sont en train de fuir les exactions perpétrées dans les zones assiégées par la rébellion de Ouattara mais l'ONU, ses structures et la presse occidentale sont en train de dire qu'ils fuient plutôt l'imminence de la guerre que Gbagbo ferait courir à la Côte d'Ivoire. Ce qui est archi-faux. Il n'y a aucun mouvement de population constaté de la zone sous contrôle du gouvernement vers les pays limitrophes de la Côte d'Ivoire (Ghana et Libéria du côté de San Pedro). Les seuls mouvements de populations constatés jusqu'à présent ont lieu des zones occupés par la rébellion montée de toutes pièces par Ouattara vers les pays limitrophes de la Côte d'Ivoire à partir de leur zone. Comme les Américains qui ont menti grâce aux notes traficotées de la CIA pour faire la guerre en Irak et laisser aujourd'hui ce pays en lambeau dans un désordre ethnique où il est impossible de former un gouvernement, la France et l'ONU veulent en faire autant en Côte d'Ivoire avec comme toujours, l'aide de quelques nègres de service (des Ivoiriens et des Africains) prêts à faire le sale boulot que lui confie le toubab.


Falsification de l’attaque de la RTI: la défense détruit les contrevérités de la procureure
Publié le jeudi 21 fevrier 2013 | Le Temps
L’histoire de l’attaque de la Rti du 16 décembre 2010 a été falsifiée par la procureure de la Cour pénale internationale. Elle accuse les pro-Gbagbo d’avoir planifié cette attaque. Maître Emmanuel Altit a démonté, hier, lors de la deuxième journée du procès, ce nième mensonge. Il soutient à la barre : «Tous les éléments en notre possession le prouvent. Ce sont les miliciens pro-Ouattara qui ont préparé une attaque préméditée. Comment ne pas s'étonner que ceux que le procureur présente comme les relais de la politique de Gbagbo aient été promus et récompensés par Alassane Ouattara ? Trop occupé à vouloir prouver la responsabilité de Gbagbo, le procureur n'a pas eu le temps d'examiner les documents à charge. Il n'a même pas regardé les vidéos de l'époque. L'aurait-il fait ? Il aurait vu les miliciens armés de Ouattara, les appels à la violence des chefs rebelles et de Guillaume, le Premier ministre de Ouattara, et renouvelés le soir de l'attaque». Effectivement, les images ont fait le tour du monde. Les ex-rebelles favorables à Ouattara, cloitrés à l’Hôtel du Golf, avaient décidé d’aller «installer de force Brou Aka Pascal comme directeur général de la Rti, munis de Lance-roquettes et de fusils d’assaut. Mais bloqués par les Forces de Défense et de Sécurité, ils ont été les premiers à ouvrir le feu de leur position. Les forces régulières de sécurité n’ont riposté qu’en situation de légitime défense.
Y. Gbané




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